Hello,
Voici donc les films ou documentaires (et séries à la fin du billet) vus (ou relus pour certains d’entre eux) et mes petits commentaires.
J’espère que cela vous donnera l’envie de les voir (ou revoir)…
Les films
The old guard de Gina Prince-Bythewood (Netflix) :
Une petite bande soudée de mercenaires immortels, dirigée par la redoutable Andy, se bat depuis des siècles pour protéger les humains. Mais tandis que le groupe est engagé pour une mission des plus périlleuses, ses pouvoirs hors du commun sont soudain révélés au grand jour. C’est alors qu’Andy et Nile, tout dernier soldat à avoir rejoint l’équipe, doivent tout mettre en œuvre pour neutraliser leurs ennemis. Car ces derniers ne reculeront devant rien pour détourner les pouvoirs des immortels à leur profit.
Raaah… quoi, raaah ? ben, voilà, je me suis dit, à la lecture du résumé, que cela devait être pas mal du tout, en sus Charlize Theron mène le bal…
Résultat… bof…
Le scénario coche toutes les cases pour éviter de froisser quelqu’un et atterrit, forcément, sur du caricatural (on en parle de Goussainville vu les américains ?)… l’histoire est loin d’être innovant (pourtant, le mythe de l’immortalité est aussi rentable que celle des vampires !)… et les acteurs sont peu inspirés sur certaines scènes.
Le méchant est risible et mériterait une bonne paire de claques… restent quelques batailles/bastons qui donnent envie de regarder… Sinon, deux heures, c’est long quand il n’y a pas grand-chose pour surprendre le spectateur…
Ah, si, la scène finale qui ouvre une suite, non ?
Papillon de Michael Noer (Canal plus) :
Henri Charrière, dit « Papillon », malfrat de petite envergure des bas-fonds du Paris des années 30, est condamné à la prison à vie pour un meurtre qu’il n’a pas commis. Il est envoyé sur l’île du Diable, en Guyane. Il va faire la connaissance de Louis Dega qui, en échange de sa protection, va aider Papillon à tenter de s’échapper…
Remake du film culte de Franklin Schaffner, ce Papillon-là n’égale pas l’original. Ce n’est pas un mauvais film mais il y a des invraisemblances çà et là et les scènes d’action sont un peu brouillon… A voir la scène dans la cale du navire entre prisonniers… tout le monde se bat, mais on ne voit personne.
Le plus intéressant reste le chemin intérieur et la force de caractère de Henri Charrière (que tout le monde appelle « Papi »… ça sonne étrangement quand on voit le film en v.o…) qui survit à tout, l’isolement, les coups, la privation, etc. Il est interprété par Charlie Hunnam qui est passé du gracile garçon de Queer as a Folk à Son of Anarchy, en passant par The Lost City of Z (que j’aime beaucoup)… Il est juste, un peu cabot mais largement moins que son comparse qui, pour le coup, ne fait absolument pas oublier Dustin Hoffman dans la version initiale. Rami Malek sonne creux. Dommage…
La scène de Papillon se lavant (purifiant) dans l’océan est suffisamment belle pour gommer les défauts du film.
The Wedding Guest de Michael Winterbottom (Prime)
Invité à un mariage, Jay fait le trajet de la Grande-Bretagne au Pakistan. Cependant, Jay a un secret. Armé de ruban adhésif et d’un fusil de chasse, il a prévu d’enlever la future mariée. Malgré son efficacité redoutable, la situation est vite hors de contrôle. Jay et son otage se retrouvent dans les ruelles de New Delhi, sur les marchés noirs, à courir de gare en gare.
Dev Patel et l’Inde sont les atouts majeurs de ce film.
Jay arrive après avoir brouillé ses traces, avide de l’argent prévu en fin de contrat. Son but : enlever la future mariée et la « rendre » à son amoureux.
Tuant un des gardes embauché par la famille e Samira, il déclenche plus de bruits que prévu…
- Les journaux s’emparent du meurtre, puis de la vie amoureuse de Samira.
- L’amant refuse d’honorer le contrat mais l’histoire d’amour avec elle déborde dans la presse et le presse de venir la retrouver…
Jay et Samira fuient à Dehli, Jodhpur, en train, en voiture, en car touristique ou pas, etc. ; se débrouillant comme ils peuvent, commettant des actes répréhensibles çà et là.
Petit à petit, ils se rapprochent (oui, on est dans un film made in India…) mais autant Jay peut repartir à Leicester, autant Samira n’a que deux choix : revenir chez elle et se marier de force ou fuir toute sa vie.
Entre paysages, tourbillon de ce pays immense, surpeuplé, magique mais si pauvre, cette version indienne de Bonnie & Clyde est plaisante.
Le final est touchant et les vues sont grandioses….
Riphagen de Pieter Juijpers (Netflix)
L’histoire de Riphagen, un traître hollandais ayant aidé les Nazis pendant la Seconde Guerre mondiale, en volant lui-même les trésors des Juifs. Il a ainsi amassé une fortune et n’a jamais été poursuivi par la justice pour ses crimes.
Biopic intéressant sur ces criminels qui ont échappé à la justice.
Riphagen est grand manipulateur, aidé par une collabo célèbre (Betje Very, dite Bella) qui va amasser de nombreux bijoux, œuvres d’arts, etc. des familles juives à qui il promet de l’aide… et qu’il dénoncera sans vergogne pour retomber sur ses pieds…
Malgré quelques longueurs, la reconstitution du contexte et là. Il y a des scènes superflues, soit mais la traque de l’idéaliste Jan envers Dries Riphagen montre le niveau de manipulation et de corruption pendant et après-guerre… Tout s’achète, donc !
Riphagen était un proxénète, bossait pour le SD hollandais (service de sécurité, créé, pour information, par R. Heydrich en 1931). Dénonçant des familles juives, il gagnait sur tous les tableaux, sans jamais se faire prendre…
Il a fini en Argentine et a rejoint Juan et Eva Perón… en les conseillant… Il est mort, libre, en Suisse en 1973…
A voir en néerlandais car en français, c’est vraiment plat…
Proxima d’Alice Winocour (Canal Plus)
Sarah est une astronaute française qui s’entraîne avec acharnement au Centre spatial de Cologne, unique femme au milieu des astronautes européens. Elle vit seule avec sa fille de sept ans, Stella, qu’elle couve d’un amour inquiet, se sentant coupable de ne pas pouvoir lui consacrer plus de temps. Quand Sarah est choisie pour partir à bord d’une mission spatiale d’un an, baptisée Proxima, sa vie et celle de Stella sont bouleversées.
Entre préparation intense, réaliste, doutes, douleurs, machisme, jonglage avec son ex-mari, les peurs de sa fille et le dilemme de cette mère, la sublime Eva Green joue sensiblement mais avec force cette femme qui ne veut pas renoncer à son rêve d’espace mais dont le cœur saigne de laisser sa fille, seule, pendant un an.
C’est un film fort, délicat, poétique parfois sur la double vie de cette femme/mère et le poids d’être une femme dans un monde d’homme. Un petit coup de cœur… au casting international (Ah ! Matt Dillon !).
Maléfique – le pouvoir du mal de Joachim Ronning (Canal Plus)
Plusieurs années après avoir découvert pourquoi la plus célèbre méchante Disney avait un cœur si dur et ce qui l’avait conduit à jeter un terrible sort à la princesse Aurore, « Maléfique : Le Pouvoir du Mal » continue d’explorer les relations complexes entre la sorcière et la future reine, alors qu’elles nouent d’autres alliances et affrontent de nouveaux adversaires dans leur combat pour protéger leurs terres et les créatures magiques qui les peuplent.
Revoilà Maléfique à l’orée du mariage de Aurore et son Prince Philippe, toujours aussi naïfs l’un que l’autre mais choupinets.
Lors du dîner de présentation des parents, c’est l’apocalypse entre l’un côté la manipulatrice Ingrith, mère du futur (magnifique Michelle Pfeiffer), et Maléfique ; c’est règlements de compte dans le royaume magique et la colère de Maléfique entraîne son bannissement et une blessure de guerre… elle est recueillie par les fées noires, sa communauté, et découvre un autre monde, son monde…
Alors, oui, c’est naïf, féérique, les couleurs hyper pétantes, mais c’est drôle, touchant et agréable à regarder.
Les rapports entre Maléfique et son corbeau, véritable conscience, quand il transforme en humain (excellent Sam Riley, pince-sans-rire) sont empreints de tendresse maladroite et d’humour…
C’est un bon divertissement, émouvant, avec de bons sentiments… des moments cultes (ment drôles… ah, la gaucherie du Prince Philippe lors de la demande en mariage…) et cet amour filial que Maléfique a développé envers Aurore… elle-même tellement naïve qu’elle va grandir sans préavis…
The Current War – les pionniers de l’électricité de Alfonso Gomez-Rejon (Canal Plus)
En 1880, les machines sont actionnées à la main, au pied ou à la vapeur et l’on s’éclaire à la bougie. Inventeur du frein à air comprimé, George Westinghouse investit sa fortune dans le gaz naturel qui constitue pour lui l’avenir de l’éclairage et de l’industrie. Sans un sou, Thomas Edison travaille jour et nuit sur un tout autre projet : l’électricité
Deux géants de l’électricité, en 1880, aux États-Unis, s’affrontent pour régner sur la distribution et la diffusion de l’électricité. D’un côté, le génial inventeur (avec dix idées d’avance) Thomas Edison, star de l’Amérique (et futur inventeur du cinéma) et George Westinghouse, grand patron et belle âme. C’est la lutte entre le courant continue (Edison) et alternatif (Westinghouse) avec un arbitre de choix, l’oublié de l’histoire, l’ingénieur talentueux Niccola Tesla.
Quoique classique, ce film traite d’un sujet difficile et pas si sexy que cela mais même si, parfois, il y a des raccourcis, et, est très agréable à regarder. Je trouve que l’implication, l’impact de Tesla n’est pas assez exploité et que ses scènes tombent un peu à plat… Ce qui est dommageable pour l’interprétation de Nicholas Hoult (toujours juste). Cumberbath et Shannon s’affrontent avec brio, même si le premier est en service minimum sur certains plans… Reste Holland qui, en secrétaire fidèle, vaillant et attentionné d’Edison, livre un bien beau second rôle dans la grande Histoire…
Bon, après, je peux vous assurer que nous ne regarderons plus nos ampoules comme avant, mais avec admiration !
Films à voir au ciné !
Tenet de Christopher Nolan
Un agent secret est chargé d’empêcher la Troisième Guerre mondiale par l’inversion temporelle.
D’accord, le seul nom de Nolan suffira à me propulser au cinéma, avec masque et gel hydroalcoolique ! Ce côté futur proche, renversement temporel, et sauvetage du monde, moi, cela me plaît… En sus, il y a Kenneth Branagh au générique… Que demander de plus ?
Light of My Life de Casey Affleck
A la suite d’une pandémie qui a anéantie la moitié de la population mondiale (les femmes), un père et sa fille se retrouvent pris au piège dans les bois.
Là, aussi, le seul nom de Casey Affleck me fait aller au cinéma… que ce soit en tant qu’acteur ou, là, en sus, de réalisateur, cela m’intéresse toujours… C’est un sujet un peu casse-gueule pour lui, qui traîne quelques plaintes féminines, évoque l’éradication des femmes suite à une pandémie. Seul avec sa fille, ce père tente de maintenir l’illusion d’un quotidien insouciant et de préserver la complicité qu’il l’unit à elle, alors qu’elle grandit et se pose des questions notamment d’indépendance.
Enragé de Derrick Borte
Mauvaise journée pour Rachel : en retard pour conduire son fils à l’école, elle se retrouve coincée au feu derrière une voiture qui ne redémarre pas. Perdant patience, elle klaxonne et passe devant.
Quelques mètres plus loin, le même pick-up s’arrête à son niveau. Son conducteur la somme de s’excuser, mais elle refuse. Furieux, il commence à la suivre… La journée de Rachel se transforme en véritable cauchemar
Un film avec Russel Crowe ? Vous voyez une meilleure raison ?
Séries TV !
Babylon Berlin saison 3 (Canal)
Berlin 1930. L’inspecteur Gereon Rath, toujours secondé par son assistante Charlotte Ripper, démarre une enquête sur l’étrange mort d’une star de cinéma. Tandis que dans le pays et les rues de la capitale allemande, la situation sociale et politique se tend violemment.
Après les excellentes deux premières saisons, revoilà Gereon, toujours hanté par ses démons, en proie avec des soucis amoureux, associé à Charlotte (lotte) qui vise à devenir la première femme inspecteur de police. Ces deux-là se lancent dans une enquête sur la mort d’une star du cinéma et assistent à la montée du nazisme, à la lutte politique et à la situation sociale de la crise économique.
Toujours léchée, cette série est brillante tant au niveau des décors, des costumes, et de la reconstitution du Berlin de la fin des années 20/début 30 que par les rebondissements de l’enquête. En sus, en marge, les deux protagonistes se démènent toujours pour se sortir des affres de leurs vies, de leurs blessures et des démons qui les hantent. Un duo si différent mais si complémentaire, avec une Charlotte qui pousse toujours Gereon à aller de l’avant et ce dernier n’est pas en reste côté motivation de sa partenaire.
Tous les personnages ont leurs propres vies, leurs propres errances et chacun se dépatouille un peu comme il peut… en marge, la peur, le côté anxiogène arrivent, doucement, à pas de loup (de l’oie)… C’est impressionnant, fascinant… Bref, j’adore cette série !
Bref, toujours que du bonheur de suivre leurs aventures !
Sparta (Netflix)
Alors qu’il enquêtait sur la mort mystérieuse d’un enseignant, un détective grisonnant s’immisce dans le monde des jeux de réalité virtuelle à enjeux élevés.
Tout commence par le suicide d’enseignante de lycée qui se défenestre en pleine journée dans l’établissement. L’inspecteur envoyé pour enquêter lutte contre deux démons : un AVC qui l’a laissé avec un léger handicap et le suicide de sa femme quelques minutes après qu’elle ait appris qu’il la trompait avec une de ses collègues de la police.
Dès le début, on sent bien qu’il y a quelque chose qui cloche. Chaque élève de cette classe semble avoir un secret inavouable ; tous semblent liés à cette mort… Petit à petit, on découvre qui mène, qui suit, qui intrigue, qui louvoie et l’inspecteur va plonger dans le monde de la réalité virtuelle où le prix à payer est très élevé.
Malgré quelques clichés, ici ou là, cette série russe ne lésine pas sur les personnages bien travaillés, les chausse-trappes, les dialogues ciselés (et un peu trash parfois) et un vrai travail sur le passé de ses élèves et des adultes.
C’est plaisant, intriguant, sans trop d’invraisemblances… On essaie de dénouer les fils, les émotions et peurs des personnages…
Loin d’être une série pour ado made in USA , et malgré les stéréotypes habituels, Sparta est vraiment, vraiment, une bonne surprise… et la fin est vraiment bonne… et fait réfléchir !
Pour elle, volent les héros (Netflix)
Onze ans après, quatre amis, des vétérans de guerre des Forces Spéciales, se rassemblent pour une dernière mission : retrouver Yaeli, la sœur de l’un d’entre eux. Cette aventure va les mener au plus profond de la Jungle Colombienne. Mais pour réussir, ils vont devoir se confronter au traumatisme qui les avait séparés…
Au départ, cette série israélienne se révèle intéressante… et se base sur un livre (éponyme publié chez Gallimard) et dont les créateurs ont capté la dernière partie de l’histoire… la quête de la sœur d’un des amis, disparue 9 ans auparavant et qui ressurgit soudain au détour d’une photo… en Colombie.
A l’aide de flashback, on apprend pourquoi Aviv se complait dans sa déprime carabinée et s’est coupé de ses compagnons d’armes… entre guerre, embuscade qui a mal tourné, dépression, rupture amoureuse et disparition de son grand amour, il a pris cher… mais ses copains aussi… Dubi a perdu sa sœur, qui s’était enfuie en Colombie pour oublier sa rupture, Dotan (aka Himmler) beau gosse richissime avec une plaie au cœur et un cancer dans les parages, Benda exilé en Colombie et prêt à se marier avec la sublime (et compréhensive) Maria…
Les premiers épisodes sont vraiment biens et le casting est vraiment (avec un bémol sur le charisme de Yaeli, la fameuse sœur disparue)… Les 4 ex-amis sont s’unir pour retrouver Yaeli, qui a brisé quelques cœurs au passage… entre rivalités amoureuses, règlements de comptes amicaux, passe d’armes sur la guerre et les erreurs du terrain (ou pas), on suit les 5 premiers épisodes avec plaisir… Puis, quelques longueurs arrivent, on sent arriver le final (et quelques scènes sont un peu téléphonées, quand même pour être crédibles)…
Après, on se doute bien de la fin, on ressent de l’empathie pour un des personnages malgré son côté tête à claques (mais belle gueule)… Il paraît qu’il y a une saison 2 prévue… mouais… à voir (ou pas !).
Code 37 (3 saisons) – Belgique – Prime :
Hannah Maes est nommée capitaine au sein de la brigade des mœurs de Gand où elle dirige avec tempérament et finesse sa nouvelle équipe exclusivement masculine : Charles adepte des méthodes traditionnelles de la vieille école, Bob le macho et le jeune Kevin, spécialiste des nouvelles technologies. Malgré leur scepticisme, les enquêteurs découvrent peu à peu cette trentenaire d’un genre nouveau. On comprend rapidement que l’arrivée de Hannah n’est pas un hasard. Elle est revenue pour résoudre une affaire personnelle…
Je suis tombée par hasard sur cette série belge, un brin glauque… chaque épisode est un cas des mœurs et chaque pas apporte un cas de conscience, une enquête et une avancée (ou pas) dans les relations entre flics. Il faut dire que la jolie blonde arrive auréolée de ses capacités, de son cursus (très américain) et qu’elle détonne au milieu de ces trois acolytes arcboutés sur leurs prérogatives, leurs misogynies et autres joyeusetés.
Pourtant, petit à petit, on apprend plus sur chacun d’entre eux, sur elle et tout le monde se dépatouille comme il le peut…
Notamment, aussi, en marge, Hannah poursuit son enquête sur la mort de sa mère qui demeure un non-dit avec son père et même ses collègues (supérieurs)..
Sans être révolutionnaire, j’ai vu les trois saisons, tranquillement, et je n’ai pas décroché… un peu comme Code Black vu au printemps, sympa mais pas inoubliable !
Umbrella Academy Saison 2 (Netflix)
Après l’apocalypse de la saison 1 (et les difficultés d’intégration, de relations avec leur père, entre eux, et la révélation d’une sœur cachée…. Sœur qui provoque l’apocalypse par sa rage), revoici les six super-héros malheureux projetés individuellement entre 1960 et 1963 à Dallas et ses environs… qui vont devoir empêcher une autre catastrophe !
Cinq, leader diablotin et capricieux, essaie de rassembler son petit monde alors que chacun a refait sa vie, son trou (ou est au trou !), etc.
Bien sûr les méchants sont dans les parages, tout comme papounet qui n’a aucun souvenir de ses enfants, adoptés trente ans plus tard !
Toujours sur-vitaminé, délirant, humoristique (de temps en temps), nos académiciens dynamitent les années 60 par leurs idées, comportements, avis, influences, ou carrément leurs poings. Certains essaient d’empêcher la mort de Kennedy, d’autres veulent, juste, être tranquilles dans cette nouvelle vie.
Mais le destin, l’Histoire et leurs liens vont les remettre en troupe et en ordre de bataille.
La saison 2 est aussi sympa que la 1, même si un peu en deçà, leurs boulets émotionnels sont de plus en plus lourds…
Ça promet pour la saison 3… même si, c’est typiquement le genre de série qui a besoin d’un résumé à l’entame de la saison, car elle fait partie des oubliables.
Le Bonus du mois ?
Le 50e anniversaire de River Phoenix, où qu’il soit… et j’ai revu (encore, encore, encore) ce film
xx
Lisa