Évidemment, comme tous mes romans, De retour en URSS possède son passé, son histoire et un lien avec moi.

Sa bande-son, ses références, ses petits arcanes, et ses secrets…

Sans trop dévoiler l’intrigue, l’histoire et les soubresauts et la fin (surtout pas !), voici quelques informations sur ce roman:

Le dossier de presse complet et les articles.

 

La bande-son.

C’est une bande-son différente cette fois…

Non pas que je n’avais pas envie d’écouter l’Internationale en boucles (quoique !), mais il me fallait des chansons plus mélancoliques, plus tourmentées…

Je pense que cette bande-son capte bien l’ambiance et les interrogations de deux personnages principaux.

Les références.

L’URSS…. Et ma propension à aimer les romans d’anticipation…

Entre grande Histoire et petites histoires (notamment mon exposé en 2nd sur la famine ukrainienne), ce roman a germé… puis, un jour, un article sur les ouvriers de l’URSS entre 1928 et 1941 (oui, je sais, je lis des trucs indigestes !), le personnage d’Asim est arrivé… par touche… puis il s’est imposé (le très joli boulet) et il a décidé qu’il fallait que je le couche sur le papier…

Trois mois plus tard (à raison de 2h tous les soirs), il y avait 630 pages !

Les personnages emblématiques.

Asim Palin…. Et aussi Chloé de Rivaud… et Lev, aussi… et les deux présidents des Blocs…

Mais surtout Asim Palin… un personnage réellement emblématique qui entretient le mystère, fait preuve de loyauté (mais aussi de lâcheté), a un but personnel mais découvre un collectif…

Sans Palin, point d’histoire… parce qu’il alimente les rumeurs, la peur, l’admiration et même une certaine forme d’idolâtrie…

Bien sûr que Chloé est importante et devient, même, le socle de l’histoire, fait vaciller les plans de Palin, mais il reste le point central de cette traversée de Moscou en 1933…

Quant aux autres personnages, le trio des têtes pensantes est un peu une hydre parfois mais ils sont importants, même quand on estime qu’ils sont trop en première ligne…

Restent les deux présidents… deux personnalités, deux façons de concevoir le pouvoir… et le plus dictateur n’est pas le plus ambigu !

Mais, bon, Asim…. (oui, veuillez noter que l’auteur soupire !).

Les détails.

J’avais cette photo sur ma table de travail (deux broches qui m’appartiennent, d’ailleurs !)… et cette chanson dans la tête…

 

Je savais où j’allais, où tout finirait… encore fallait-il que les personnages acceptent mon voyage… et pour une fois, depuis longtemps, aucun d’entre eux ne s’est rebellé ! (heu, si, mais j’ai maté la révolte !).

L’autre chanson est celle-ci :

Les arcanes.

Pour une fois, aucun arcane…mis à part mon addiction pour l’Histoire de la Russie… de toutes les périodes de l’Histoire russe !

Ah, si… j’avoue, j’ai un faible pour un lieu dans le roman et j’ai poussé les murs pour l’insérer… juste pour le plaisir (l’égocentrisme de ces auteurs, quand même !).

 

En sus…

Qui a dit que Asim Palin était mon genre de mec ?