Évidemment, comme tous mes romans, le dernier du triptyque, La Chute de Jan, bénéficie de son univers propre…

Sa bande-son, ses références, ses petits arcanes, et ses secrets…

Sans dévoiler l’intrigue, l’histoire et la fin (surtout pas, ça va pas la tête !), voici quelques informations sur La Chute de Jan qui pourront vous donner l’envie en savoir plus….

Le dossier de presse complet et les articles.

Évidemment, vous pourrez retrouver tous les articles, les présentations et autres photos d’appui (pour illustrer vos articles) dans le dossier presse (lien ci-dessus).

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La bande-son.

Celle-ci est essentielle…. pour se plonger dans le contexte et l’histoire (Histoire)… et les sentiments par lesquels Jan passe tout au long des évènements de sa vie…

Certains sont très actuels, il est vrai, mais il reflète exactement son état d’esprit à un moment-clé.

J’ai un faible pour le passage où j’ai écouté en boucle « Il était là… (le fauteuil)  » de Michel Sardou… Grand moment d’intimité entre Jan et moi.

Les références.

Dès le début du triptyque, je savais à qui ressemblait Jan.

Il n’était même pas prioritaire dans « Karl et Nina » mais il était là, tapi, dans le cœur de Karl et dans ma tête qu’il ne quittait jamais. Je savais qu’il aurait son roman.

Il aurait été facile, si facile, de positionner Karl en tête de pont dans ce dernier opus mais Jan… Jan était là, il était parfaitement vivant pour moi. En fait, il était accroché sur mon mur depuis des années (décennies) comme Gerhart et Karl

« Mon Jan » fut capturé par le merveilleux Capa… Le Jan d’avant Stalingrad…

Tous droits réservés à Robert Capa (c)

Celui qui pourrait l’être : Volker Bruch

 

Les personnages emblématiques.

Que la Team Karl se rassure, elle va en avoir pour son argent !

Mais, évidemment, compte-tenu du titre, vous vous doutez bien que Jan est au centre de tout. Les lecteurs de « Karl et Nina » l’avait croisé au milieu de deux ou trois scènes, et notamment celle de la lettre lue par Karl à Hannah.

Jan est un jeune homme quand on le rencontre à Berlin au début du roman. Il est en permission, attend son aîné (Karl, donc… du calme, mesdemoiselles !), se pose des questions et revoit sa vie, celle qui était « insouciante ».

Rien ne peut excuser Jan, et il est le premier à ne pas se pardonner mais j’ai essayé d’expliquer, à travers son parcours et celui de sa famille, comment un garçon brillant, je-m’en-foutiste, est devenu obtus et sans pitié.

Jan est le personnage le plus étonnant avec lequel j’ai eu à cohabiter pendant l’écriture. Je l’ai détesté, je l’ai aimé, je lui ai pardonné à la fin même si je n’ai pas tout compris (oui, je vous assure, c’est moi l’auteur… mais bon…).

J’espère qu’il vous permettra de voir cette période d’Histoire différemment, en vous posant les bonnes questions sur la naissance du Mal, quel qu’il soit !

Les détails.

Pour ce roman, il a fallu que je relise des livres d’Histoire sur la période, que j’avais lus plusieurs fois ; que je feuillette de nouveau mes documents d’époque, que j’aille lire les journaux d’époque, sans compter les reportages, etc. (merci l’INA, le Mémorial de la Shoah et les archives allemandes !) !

Voici quelques photos que j’ai eues sous les yeux, principalement pour savoir d’où je venais, où j’allais et pourquoi :

Centre de Documentation juive contemporaine/Mémorial de la Shoah

 

Copyrights GETTY IMAGES Thomas Mann

 

J.O. Berlin 1936

Les arcanes.

A la base, c’est cette couverture que je voulais ! Mais n’ayant pas les droits pour cette photo de Capa (dommaaaaaage), j’ai juste fait une impression sur mon exemplaire « relié » simple de la première version brute du roman, celle qui est tapuscrite au kilomètre sur l’ordinateur, sans correcteur, sans relecture… Celle qui va rejoindre ses copines à SMV !

En sus…

Je suis fière de ces trois-là !

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