Évidemment, comme tous mes romans, Under The Blue Skies possède son passé, son histoire et un lien avec moi. C’est même le plus proche de moi…
Sa bande-son, ses références, ses petits arcanes, et ses secrets…
Sans trop dévoiler l’intrigue, l’histoire et la fin (surtout pas !), voici quelques informations sur ce roman:
Le dossier de presse complet et les articles.
La bande-son.
Cette bande-son a été pensée comme le double de certaines scènes, comme l’apport musical.
En fait, Under The Blue Skies était un scénario, à la base… donc, il me fallait des chansons qui seraient insérés « au montage » dans le film (oui, j’avais pensé à Oliver Stone pour le réaliser).
Donc, chaque chanson sélectionnée a subi un découpage pour isoler LE passage qui sied à la scène…
Voici donc la B.O. avec ledit découpage, si cela vous intéresse de l’écouter « version film ».
Il y a même 2 textes de chansons que j’avais écrits pour, justement, figurer dans la B.O… à défaut d’avoir eu les 2 groupes , elles resteront juste des textes, sans musique….
Ah, les groupes, me direz-vous ? Blur (on parle de 1993, hein !) et une des chanteuses mentionnées ci-dessous.
Les références.
Aucune…
En fait, pour ce roman précis, il n’y avait aucune référence précise…
Les personnages emblématiques.
Vous avez bien failli ne jamais avoir ce roman entre les mains à cause d’elle… Ashley… qui s’appelait Kelly à la base… tout le monde adorait l’idée en 1993, mais pas moi.
Je ne lui trouvais pas le pendant de Todd et Neil… Il fallait un prénom qui sentait la poudre, qui avait aussi un diminutif avec un indice…
1997 et 2024 ne furent pas très inventives pour ce personnage… et le roman est resté dans le tiroir…
Puis, en 2022, Ashley est arrivée dans ma tête… le diminutif : Ash… cendre en anglais… Cela collait parfaitement à la jeune femme… et Ashley et Todd ou Ashley et Neil avait une plus belle tenue que Kelly… et Ashley restait mystérieuse… un brin femme fatale, un brin gamine perdue.
Les détails.
Que dire ?
Que j’ai volontairement omis la liste des personnages (elle y est mais à la fin du roman, désormais) pour ne pas donner trop d’indices aux lecteurs… car les prénoms, noms, fonctions pouvaient éclairer les plus ingénieux, perspicaces, etc. ; et cela n’est pas mon intention…
Je voulais que le lecteur patauge autant que les personnages !!
Les arcanes.
Ecrit en 4 mois, les soirs pendant 3 heures… avec une seule chanson dans les oreilles… (pour info la 12e de la B.O….).
En sus…
Ce roman a gagné le prix du meilleur scénario en 1997, dans un concours à Marseille. La couverture était basique… mais je tenais déjà à mes fenêtres d’immeubles de Detroit.
