Évidemment, comme tous mes romans, Noble Semaine(s) en Famille(s) bénéficie de son univers propre…
Sa bande-son, ses références, ses petits arcanes, et ses secrets…
Sans dévoiler l’intrigue, l’histoire et la fin (surtout pas !), voici quelques informations sur Noble Semaine(s) en Famille(s) qui pourront vous donner l’envie en savoir plus….
NOUVELLE COUVERTURE,
la précédente est donc un collector….
Le dossier de presse complet et les articles.
Attention, il y a des articles dithyrambiques mais je n’y suis pour rien !
La bande-son.
La bande-son est véritablement les états d’âme de Charlotte et d’Andrew.
Si l’on écoute les chansons, on peut comprendre d’où ils viennent, où ils vont (ou aimeraient aller) et…
En outre, il existe une version PDF avec liens audio insérés… Si vous achetez un exemplaire, signalez-vous par mail ou par le formulaire de contact, et je me ferai un plaisir de vous l’envoyer, gracieusement !
Les références.
C’est la faute à Meilleure Amie !
A force de me demander des romans « avec une histoire d’amour qui finit BIEN ! », j’ai décidé de lui écrire une histoire qui pourrait la combler ; évidemment, les personnages ont pris le pouvoir, comme à chaque fois, et cela a été un peu plus… moins… bref, sûrement pas conforme à l’idée de Meilleure Amie… qui adore quand même (elle m’aime aussi).
Pour Andrew, comme je l’explique ci-dessous dans « Les Détails », il existe, mais je l’ai croisé a posteriori… Le trouble le plus incroyable de ma vie…
Je l’ai raconté ici, dans cette vidéo, à Lydie de l’Arbre à Palabre !
Oui, quand j’ai écrit ce roman en 2010 (je précise au cas où certains ne comprendraient pas que j’ai évolué dans mon écriture romantique depuis), le postulat de départ était simple :
une histoire d’amour, un peu guimauve mais qui tienne la route.
J’ai donc ajouté à cela un contexte sympa et simple (une tempête de neige clouant tout le monde au fin fond de l’écosse pendant quelques longues semaines), des personnages un peu étonnants (une comtesse raide comme la justice, des fantômes irlandais, un notaire trouillard, etc.), deux familles opposées mais surprenantes et deux protagonistes principaux qui ne se seraient jamais aventurés ensemble sans la tempête.
Car entre Charlotte, jeune femme au caractère trempé, fêtarde mais bosseuse, et Andrew, gentil garçon poli, pas trouillard mais inexpérimenté, ça frôle la rencontre du siècle.
Je suis partie du constat de départ que, quelque fois, on rencontre la bonne personne, que cela est évident depuis le premier regard ; Arrive ce qu’il doit par la suite, mais l’histoire reste bien ancrée dans le cœur.
Je mentirai si je disais que je ne connais pas un ou deux personnages intimement, mais justement, c’est là le plus drôle de l’histoire… j’ai écrit ce roman en 2010 pas en 2015.
A vous de voir (lire) si cette histoire d’amour en est une au final !
Les personnages emblématiques.
Charlotte et Andrew… Je suppose.
Les autres membres sont intéressants, drôles, un brin lunaires (ou pas), hystériques (souvent), rigides (et pas que) mais, quand les lecteurs en parlent, c’est souvent pour en revenir à Charlotte et Andrew…
Et même souvent Andrew !
D’ailleurs, Andrew ne pourrait pas être joué par un autre acteur que le choupinesque Ben Whishaw !
Les détails.
La dédicace est double…
La première est grandement lumineuse car ce bout de phrase piquée à Arctic Monkeys a fait germer le roman.
La deuxième a été la plus surprenante pour les lecteurs. La plupart du temps, ils m’ont demandé « Qui est le vrai Andrew ? ». Meilleure Amie en pleure de rire encore !
Le vrai Andrew est arrivé quelques semaines après la fin d’écriture du roman (fin 2011). Inconnu au bataillon, en moins de deux semaines, j’ai eu droit à toute la panoplie du personnage d’Andrew devant moi, en chair et en os, y compris ce côté décalé très british.
Alors, au moment de faire la dédicace, j’ai évidemment pensé à lui dédier ce roman qui, même si, il n’en est pas la cause, est grandement soutenu par le fait qu’un tel garçon existe.
Pour les remerciements, j’ai réduit à mon cercle d’amies que j’aime très fort et qui ont mes repères dans ce monde ; Sans elles, toutes, rien ne serait aussi agréable pour moi…
Et, oui, Blur et Arctic Monkeys étaient invités à la fête….
Pour le banc de Kensington, seul le vrai Andrew peut comprendre !
Les arcanes.
La photo de couverture est issue d’une séance de photos de mode…
Quand j’ai pris la photo, j’ai eu l’image de Charlotte…. qui me manquait puisque j’avais déjà Andrew dans la tête.
Il y a eu des dessins de préparation, par exemple la robe lors de l’arrivée de Charlotte dans la première page !
En sus…
Ce livre a fait l’objet d’une box littéraire pour L’Arbre à Palabres ! Avec des indices sur Instagram, YouTube, Facebook !