Évidemment, comme tous mes romans, Ein Brera bénéficie de son univers propre…

Sa bande-son, ses références, ses petits arcanes, et ses secrets…

Sans dévoiler l’intrigue, l’histoire et la fin (surtout pas !), voici quelques informations sur le roman qui suit Karl et Nina, dans le triptyque qui pourront vous donner l’envie en savoir plus…. sur Ein Brera :

Le dossier de presse complet et les articles.

Étant tout jeune, il n’a pas encore de nouveaux articles ou vidéos, mais suivez bien mon blog et mon site, et revenez ici de temps en temps pour en savoir plus !

En cliquant sur le lien (PRESSE), vous trouverez tous articles (ou support) parus !

La bande-son.

Celle-ci est essentielle…. pour comprendre les états d’âme de Béatrice !

Oui, vous allez y trouver la musique créée pour un film « romantique » devant lequel je me suis endormie au cinéma (pas ma tasse de thé), mais à l’époque du début de rédaction du roman, j’assistais à un cours de danse et mes collègues répétaient une chorégraphie sur ce thème…

Petit à petit, j’ai apprécié ce morceau, et quand il a fallu rédiger un long passage de Béatrice en pays étranger, cette musique est arrivée dans la tête !

Les références.

Lorsque j’ai entrepris mon travail d’écriture sur le devoir de mémoire envers la Seconde Guerre Mondiale, période qui a toujours été importante et dont l’intérêt date de mon adolescence, c’est avec un grand respect et une profonde envie de faire réfléchir un tant soit peu, que j’ai rédigé ce triptyque.

J’ai, alors, choisi d’évoquer les relations lors de la Seconde Guerre Mondiale par trois volets bien distincts, avec, comme seul lien, un personnage.

Le premier volet, « Karl et Nina », paru en février 2017, évoque les relations entre la population française et les soldats allemands et, entre les français eux-mêmes ; le deuxième (Ein Brera) est centré, notamment, autour du passé d’un homme et les conséquences sur les descendants héritant de la responsabilité et la culpabilité ; enfin, pour le troisième, je suis revenue à la source en traitant de la période 1928 – 1937 en Allemagne (à paraître en 2019).

Que ce soient « Karl et Nina », « Ein Brera », et le troisième, le fil rouge est sans contexte un devoir de mémoire envers une période difficile et ces relations biaisées, toujours sensibles et impactant des vies, encore de nos jours.

Je vous laisse juge de la quête que mène Béatrice dans « Ein Brera » pour explorer, comprendre le passé.

Tous ces documents sont issus de mes archives familiales…

Les personnages emblématiques.

Il y a forcément des seconds couteaux auprès de Béatrice et Noah.

Il a le père de Béatrice, la mère de Noah, les enfants de Béatrice, son patron, l’oncle de Noah, ou même les personnages rencontrés çà et là, mais Béatrice sans Noah n’aurait aucun intérêt…

Paradoxalement, Noah se suffit à lui-même, assez pour que, sans Béatrice, il puisse poursuivre son chemin…

Autant pour incarner Béatrice, je n’ai toujours aucune idée… autant pour Noah, j’ai eu une idée très précise très que j’ai entamé le milieu du chapitre 2 !

Cet acteur est Jonah (Yair) Lotan :

Crédit Photo by David Scouri

Les détails.

J’ai inventé toute l’histoire, tous les noms, la fondation et les buts de celle-ci.

Mais je l’ai fait avec le plus grand respect me concernant. J’avais besoin de faire ce livre, aussi étonnant que cela soit pour quelqu’un dont la famille n’a jamais eu à affronter un tel déchainement de violence.

Les arcanes.

Une overdose de Dalida, de Mozart et un « Tell Him » avec deux chanteuses dont une me donne des boutons d’angoisse et une obsession pour un vieux document lu aux Archives Départementales du Cher !

J’ai lu et relu ce papier pendant des jours… J’avais le cœur au bord des lèvres tellement l’histoire que je lisais, ressemblait à un paragraphe écrit, dans un train, deux ans auparavant !

J’ai hésité longtemps à l’inclure, par respect, et par l’angoisse qui m’assaillait à chaque lecture… puis, à la fin du chapitre 3, ce fut une évidence qu’il fallait garder ce « détail ».

Il y a aussi eu le moment d’inclure Karl dans le récit. Il est arrivé tranquillement, à pas de loup, pour se dissimuler dans un paragraphe. J’ai souri en relisant le passage.

Il était là, ce bon vieux Karl…

Enfin, je suis heureuse que le livre soit dédié à un homme qui a compté pour moi, qui reste dans ma mémoire et qui a, toujours, été attentif à mes lectures peu conventionnelles pour sa vie et son histoire. Il a été bienveillant jusqu’à sa fin.

En sus…

Je n’ai aucune idée de comment Ein Brera sera reçu mais j’ai hâte de voir le Volet 3 sortir, tellement je le trouve percutant, fort, émouvant et à hauteur de ses deux petits copains !

Ah, oui, c’est Meilleure Amie qui m’a interviewé un soir, et ce fut un excellent moment de travail…

Elle est douée, en sus d’être très jolie !

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